J’ai rencontré l’hypnose à l’âge de 16 ans, l’occasion d’un spectacle d’été.
Je m’y suis intéressé en commençant par reproduire ce que j’avais vu, puis suivre quelques formations. J’ai rapidement cessé de pratiquer car les formations de l’époque visaient simplement « mettre en hypnose », sans réelle considération de la personne.
La suite de mon accident de santé, j’ai été très étonné de l’absence proposition d’hypnose aussi bien dans le domaine de la rééducation que de l’accompagnement psychothérapeutique.
C’est ainsi que j’ai repris mes formations en hypnose Ericksonnienne, hypnose neurolinguistique et surtout avec une formation recevable par le milieu médical qui me réfère des patients.
Je me suis formé auprès du Docteur Jean Becchio, qui qui dirige par ailleurs le DU d’hypnose clinique de l’université Orsay-Bicêtre, fondateur en 2014 du CITAC (Collège International des Techniques d’Activation de Conscience).
Terme très répandu dans les pays du Nord et anglo-saxon.
En France, on parle d’hypnose jusqu’à ces dernières années. À présent on a tendance à faire évoluer ce terme, en particulier par les TAC.
Pourquoi ?
Parce que, au XXIe siècle, nos connaissances dans le domaine de la conscience, des fonctionnements du cerveau, des neurosciences ont énormément évoluées et de vieux mythes, de vieux dogmes ont été mis de côté sur les étagères du musée de la médecine.
Voilà pourquoi nous avons glissé, de l’hypnose, vers une hypnose épurée : l’activation de conscience.
Comme les Américains ont glissé vers le Mindfullness, la conscience globale, etc.
Ces données modernes relèvent d’un cerveau global sans barrière.
Et lorsque les communications s’effectuent bien, on est en pleine forme.
On peut avoir une peur ; et cette peur, l’anxiété, on va la gérer.
Dans une grande partie la population, à cause de ce que nous vivons, la peur n’est plus gérée.
Si on regardait ce qui se passe dans le cerveau, les I.R.M. que nous avons maintenant, qui sont performantes, montreraient ces blocages à différents niveaux sur ce réseau connecté du cerveau, le connectome.
La Thérapie par Activation de Conscience va réactiver ce réseau pour lever les blocages, entraîner une fluidité qui permettra de transformer cette anxiété en une petite poussée plus confortable de confiance en soi.
Un inconfort du passé, un regret
Un inconfort du présent, la douleur physique ou la souffrance mentale
Un inconfort du futur, une peur de l’avenir.
La thérapie par activation de conscience se complète par l’apprentissage de l’autohypnose, pour devenir rapidement autonome.
Les techniques par activation de conscience sont le fruit du travail du Docteur Jean Becchio et des équipes d’études de recherche qui l’animent.